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Bienvenue sur le site Au Fil du Loir – Durtal & Seiches-sur-le-Loir
La période 2016-2020 a vu la fusion administrative des deux établissements, avec une direction et un conseil d’administration communs. L’encadrement et l’organisation étaient encore spécifiques à chaque site.
Depuis 2020, l’encadrement est totalement commun aux deux sites.
L’ambition majeure de l’établissement est de faire des résidences Au Fil du Loir un triple lieu de vie, pour les habitants, pour leurs familles et pour les professionnels.
Ehpad Durtal
La Maison de Retraite de Durtal fût fondée en 1672 par Mademoiselle Catherine DE FEUQUEROLLE et Monsieur René HUE, tous deux Durtalois. L'établissement est situé au cœur d'un quartier résidentiel sur le haut du coteau dit "La Sablonnière" et surplombant un cours d'eau, l'argance, à Durtal (commune de plus de 3 000 habitants). L'établissement offre une vue sur le Château de Durtal, classé monument historique.
L’établissement est un EHPAD qui accueille 60 résidents. Il est organisé en 3 patios de 20 lits d’hébergement permanent.
Ehpad Seiches-sur-le-Loir
L’établissement est situé au cœur de la ville de Seiches-sur-le-Loir. La commune est située à une vingtaine de kilomètres au nord d’Angers. La proximité avec le centre-ville facilite l’ouverture de l’établissement sur la vie de la cité.
L’établissement dispose de 75 places d’hébergement permanent. L’offre de service aujourd’hui proposée par l’établissement ne concerne que l’hébergement permanent.
Qui sommes-nous ?
Les deux résidences Au Fil du Loir ont des histoires différentes mais ont connu des changements importants. La résidence Seiches-sur-le-Loire à été créée en 1939 pour les retraités des Tanneries Angevines de la Commune de Seiches sur le Loir, elle était à l'origine gérée par des religieuses. En 1996, elle a été reconstruite pour offrir des conditions d'accueil améliorées. La résidence Durtal, fondée en 1672 par Mademoiselle Catherine DE FEUQUEROLLE et Monsieur René HUE, était à l'origine un hôpital pour les pauvres malades et infirmes de la ville et des faubourgs. Elle a été transformée en Maison de Retraite publique de DURTAL en 1959, avant d'être reconstruite en 1994 en raison de l'inadaptation du château à l'accueil des personnes âgées.
Nous répondons à vos questions
- de plus de 60 ans
- avec un besoin en soins infirmiers compatible avec nos capacités (PATHOS cumulé de tous les habitants ~ 250)
- avec un taux de dépendance (GIR Moyen Pondéré) GMP ~750
- atteints de troubles cognitifs ou en situation de dépendance motrice
- Besoins physiologiques essentiels
- Protection et sécurité, soins médicaux
- Stimulation physique et intellectuelle
- Favoriser le lien social
- Prise en charge de l’éventuelle souffrance psychologique
- Apporter du bien-être et des instants de bonheur.
Nous souhaitons également individualiser la réponse aux besoins et plaisirs individuels, que ce soit sur le soin ou sur la réponse à des demandes particulières.
Nous souhaitons enfin impliquer le résident, afin qu’il soit un habitant et non un patient pris en charge.
Nous souhaitons que les habitants puissent continuer à exister en tant qu’individus à part entière en veillant au respect de leur intimité et de leurs différences.
Egalement, nous souhaitons que les familles se sentent à leur place dans l’établissement lorsqu’elles visitent leur proche et qu’elles soient informées des méthodes de travail de nos équipes.
LES VALEURS DE NOS ÉTABLISSEMENTS
Recueillir le consentement du résident, si la situation ne le permet pas, identifier le degré d’adhésion de la personne au projet proposé
Exister en tant qu’individu à part entière en veillant au respect de l’intimité et de la différence de la personne accueillie
Respecter les liens affectifs antérieurs et ceux pouvant se nouer au cours de la vie dans l’établissement. Préserver les liens familiaux selon la volonté du résident et dans le cadre d’un accompagnement global
Proposer et mettre en œuvre un accompagnement personnalisé dans le respect de la personne, de ses goûts, de ses envies et de ses habitudes de vie
S’inscrire dans le respect de la liberté d’aller et venir des résidents en conservant le droit à la sécurité et notamment celui du risque lié à la désorientation